Les chercheurs ont constaté que la probabilité de briser les œufs sur les surfaces latérales est inférieure à celles qui tombent en position verticale.
Dans le cadre de l’étude menée par le Massachusetts Institute of Technology (MIT), les chercheurs ont examiné les réactions de plus de 200 œufs au sol dans des conditions statiques et dynamiques à travers des dispositifs à haute précision.
Les chercheurs, les œufs d’une hauteur d’environ 10 millimètres ont réduit horizontalement et verticalement.
Observant que la partie médiane de l’œuf est plus flexible et que cette situation a atténué les effets du déclin, a donc constaté que les coquilles des œufs tombant sur leurs surfaces latérales sont plus faibles.