Voyager 1 a rencontré un « mur de feu » au point le plus éloigné de l’espace

Les scientifiques ont découvert une structure intéressante dans cette région où la sonde a atteint : un « mur de feu » qui marque la fin de l’influence du Soleil et forme la frontière où il rencontre le vide de l’espace. Cette région est située à la frontière de « l’héliopause », là où se termine le vent solaire et où commence le milieu interstellaire.

Qu’est-ce qu’un « pare-feu » ?

Cette structure émerge dans un environnement différent, atteignant une température d’environ 30 000 degrés, mais transportant de la « chaleur » dans le sens terrestre. Ici, la température ne se manifeste pas par un transfert de chaleur conventionnel, mais par l’énergie cinétique transportée par des particules à haute énergie en raison de vitesses intenses. L’écart étant si grand, il n’y a pas d’interaction entre les particules de manière traditionnelle.

Cette découverte révèle que les limites du système solaire sont déterminées non seulement par les lignes des planètes, mais également par la limite ultime des effets magnétiques et particulaires du Soleil. Les données de Voyager 1 fournissent une preuve directe du fonctionnement de l’interaction entre le vent solaire et la matière interstellaire.

Voyager 1 toujours en mission

Voyager 1 n’est pas seulement un point d’interrogation ; C’est aussi un symbole concret du désir de l’humanité d’atteindre et d’explorer l’espace. Ce vaisseau spatial, actif depuis longtemps, continue d’envoyer des données en un point très éloigné du Soleil.