Après que la Russie et la Chine ont endommagé pendant des années les câbles de communication et militaires dans la mer Baltique, les membres européens de l’OTAN ont décidé de créer une nouvelle force navale pour protéger les câbles sous-marins de la région baltique à la Méditerranée. Les États-Unis soutiendront également la force dirigée par la France, l’Allemagne, l’Angleterre et l’Italie. Dans ce plan, la Turquie était désignée comme le pays critique de la Méditerranée.
GUERRE SOUS LA MER
Après que les équipes sous-marines russes spécialement entraînées ont ciblé pendant deux ans les câbles de communication militaires de l’OTAN dans la mer Baltique, les équipes sous-marines dirigées par les États-Unis ont commencé à effectuer des missions régulières de protection des sous-marins. B.soixante Il s’est avéré que la Chine était également impliquée dans la guerre fantôme qui se déroulait sous l’eau. Des sources de l’OTAN affirment qu’en octobre 2023, le navire de recherche polaire « NewNew Polar Bear », immatriculé en Chine, a endommagé deux grands câbles de données militaires et des conduites de gaz naturel dans la mer Baltique. Des sources indiquent qu’en décembre, le porte-conteneurs chinois nommé « Yi Peng 3 » a coupé deux principaux câbles de communication utilisés pour la communication entre l’Allemagne, la Finlande, Liltway et la Suède. Ce qui se passe pousse l’Europe à prendre des mesures drastiques.
4 PAYS SONT DEVENUS PIONNIERS
Selon les informations de la publication de défense américaine Defense News, basées sur des sources de l’OTAN, Les membres européens de l’OTAN ont décidé de créer une nouvelle force navale, composée principalement de véhicules marins sans pilote (UAV) et de véhicules aériens sans pilote (UAV), notamment face aux événements survenus en mer Baltique. Des sous-marins sans pilote seront également inclus dans la nouvelle force navale basée en Europe qui sera créée sous la direction de 4 pays. Il est prévu d’établir des champs de mines au fond de la mer Baltique qui soient mobiles et n’apparaissent pas fixes sur les cartes. Il est également prévu que la force navale qui sera créée dans le cadre de ce concept protégera tous les câbles sous-marins européens jusqu’à la Méditerranée orientale contre les éléments hostiles. L’Agence européenne de défense soutient également la planification. La France est prête à participer au projet avec de nombreux drones et drones. La France offre également la possibilité de placer des câbles sous-marins à des points plus profonds en Europe, grâce à sa grande puissance navale pour le projet. La France développe également un IDA appelé « Manta », capable d’opérer à une profondeur de 6 000 mètres.
L’ALLEMAGNE A ENGAGÉ LA TECHNOLOGIE
La marine italienne travaille en partenariat avec Sparkle, qui dispose d’un réseau de câbles sous-marins de 600 000 kilomètres, pour la sécurité de la zone sous-marine en Méditerranée. Alors qu’il est affirmé que les nouveaux sous-marins produits en Italie ont commencé à être produits comme plates-formes de drones, Rome a déjà développé un système d’identification automatique qui montre quels navires passent sur quels câbles. Alors que la Grande-Bretagne offre à l’Europe son expertise en matière de guerre sous-marine, elle a également annoncé qu’elle pouvait utiliser « des équipes spéciales pour mener des opérations sous-marines sur les côtes ennemies » pour la sécurité de l’Europe. Londres prévoit également de produire une plateforme de guerre sous-marine baptisée « Cetus ». L’état physique des câbles, la qualité des informations et des flux de données et L’Allemagne entreprend la partie de haute technologie « installation et production de capteurs » du projet.
La Turquie, UN PAYS STRATÉGIQUE
Les États-Unis apportent un soutien civil et militaire au projet. La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) des États-Unis produit une carte mise à jour des zones maritimes et des fonds marins entourant le continent européen. Les États-Unis ont également inclus dans le projet la « Task Force 59 », qui opère au Moyen-Orient et est considérée comme la première force navale sans pilote et artificiellement intelligente de la marine américaine. Le groupe de travail, publiquement connu sous le nom de « marine numérique », comprend de nombreux drones et drones. Des sources de l’OTAN soulignent également que la Turquie est le pays critique pour la sécurité des communications et des câbles militaires à l’est de la Méditerranée.
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