Les pays du Golfe sont sur les épines. Selon des sources qui s’adressaient au site d’actualités d’Axios, l’Arabie saoudite, le Qatar et les EAU ont donné un message conjoint lors de la tournée du Moyen-Orient de Trump. Les trois pays ont déclaré qu’ils étaient contraires à la possibilité de tirer sur les installations nucléaires de l’Iran.
Parce que les pays arabes, qui accueillent les bases militaires américaines, craignent que les représailles de l’Iran ciblent ses propres terres.
Selon l’agence de presse Reuters, le ministre saoudien de la Défense a transmis un message sévère aux responsables iraniens en avril.
Dans ce message, «soit l’accord nucléaire avec Trump, soit le risque de risque d’Israël d’attaquer», indique le communiqué. La région a été averti que la région ne pouvait pas augmenter les tensions supplémentaires.
Le président américain Donald Trump est également en faveur d’une solution diplomatique.
Trump a confirmé que le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahu l’avait averti de ne pas attaquer l’Iran.
Selon l’American Wall Street Journal, Trump est entré dans une impasse avec l’allié le plus clé sur l’Iran, qu’il considère comme le problème de sécurité nationale le plus d’urgence.
Le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahu craint que l’administration Trump parvelle à un accord qui n’empêche pas complètement la capacité nucléaire de Téhéran et ne limite l’option d’intervention militaire d’Israël.
D’un autre côté, les commentaires de la presse iranienne attirent l’attention.
Les analystes politiques iraniens donnent un signal «adoucissant». Il est indiqué que les activités d’enrichissement en uranium peuvent être suspendues en échange de soulager les sanctions sévères imposées à Téhéran.
Il est indiqué que l’interdiction de longue date des inspecteurs nucléaires américains peut également être examinée.